La psychologie du sport applique au sport et plus généralement à l’activité physique, la psychologie, souvent dans le but d’améliorer la performance. Ce que nous retrouvons aussi en ergonomie pour l’amélioration de la santé, la sécurité et les conditions de travail en entreprise, afin d’améliorer aussi les performances des individus et de l’entreprise. En psychologie du travail, c’est identique, mais axé principalement sur les relations interpersonnelles et chez l’individu même qui concernent les facteurs psychologiques et émotionnels.

La psychologie du sport étudie les effets des facteurs psychologiques et émotionnels chez un individu et dans un groupe en montrant les interactions provoquées avec la pratique de l’activité physique. En d’autres termes, lorsque nous apprenons à moduler et à maîtriser ces effets, nous avons plus de chance d’atteindre nos objectifs. Le groupe, l’individu, s’en retrouve à améliorer ses propres performances. Par le biais de la psychologie du sport, différents axes de travail s’offrent à nous :

• La préparation mentale d’un groupe, d’un individu sur les relations interpersonnelles et les relations entre les individus et les objectifs fixés ou donnés.
  À titre d’exemple, nous avons déjà œuvré pour la préparation à la projection mentale de la réussite chez des compétiteurs participant à la de course à pied des « 15 kilomètres du Grand Bara » à Djibouti. Mais aussi, en France, à la préparation mentale pour un groupe d’élèves militaires concernant leur passage d’examens en équipe sur leur système de visualisation en combat avec une plateforme simulatrice de détection des opérations sous-marines. Ou encore lors de la préparation mentale pour des tests d’apnée chez des candidats au cours de sélection pour le cours de sélection du Commando Hubert (Commando d’élite dans la Marine Nationale).
• La gestion de ses émotions sur une activité physique empêchée dû à la claustrophobie, l’aquaphobie, l’acrophobie qui impacte forcément l’individu et son entourage.
  À titre d’exemple, nous avons déjà œuvré positivement sur des personnes atteintes d’acrophobie, d’aquaphobie ou de claustrophobie lors de la réalisation de leurs tests sportifs comme : le grimper à la corde (6 mètres effectifs), la natation ou encore des franchissements divers (dans des tunnels, en hauteur, en milieu aquatique).

Donc, si vous désirez mettre un terme à ce stress qui ne vous facilite pas la vie, pour vous et votre entourage, nous vous aiderons à surmonter ces phobies.